Le Clan de La Main Noire (Renaissance)
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Repaire des membres du Clan de la Main Noire liés aux Royaumes Renaissants.
 
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 23 - Carcassonne >>>> Un manoir au loin dans la fôret

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La Main Noire
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MessageSujet: 23 - Carcassonne >>>> Un manoir au loin dans la fôret   23 - Carcassonne >>>> Un manoir au loin dans la fôret Empty04/09/16, 10:25 am

CELLENE


Enfin Carcassonne, enfin dans quelques minutes le Manoir. Une pensée ne cessait de la travailler. Comment allait-elle expliquer ce qu'il s'était passé pendant cette mission, la disparition d'Illaura, l'arrivée des deux "nouveaux". Tout en chevauchant et sans s'en rendre compte, elle s'était encore serrée contre Samaël. Peut être l'avait-il remarqué, car il resserra son étreinte sur elle. Une entrée facile dans Carcassonne, trop facile peut être, mais ils n'allaient pas s'en plaindre. L'Azurée leva la tête, quand Ivy lui adressa la parole. Elle fit un signe négatif de la tête, alors que le Poison s'avançait à leur hauteur. Cellene plissa des yeux, tentant de voir qui arrivait à tout allure: Aziel et Enimia. L'Azurée serra les dents et marmonna, seul Ivy et Samaël pouvait l'entendre.

Une disparition qui n'aura pas besoin d'explication...

Elle observa le couple un instant, allait-il s'expliquer? Ooh, pis ça le regardait pas de toute manière. Elle s'en fiche un peu, même beaucoup. Elle ne leur adressa pas la parole, donna un coup de talon à sa jument pour reprendre leur chemin. Ils s'engouffrèrent dans la forêt, Ivy resta en tête avec Samaël et l'Azurée. Seamus pas très, jamais très loin d'ailleurs. La vagabonde près du Taciturne, presque une protection muette. Il y avait de quoi en même temps. Ca n'allait pas être jouasse pour elle. Kaerven suivait lui aussi, toujours plongé dans ses pensées. Versus et Lupia presque collé l'un contre l'autre. Le "pseudo" couple disparu ferma la marche.

Cellene s'avança vers les grilles du Manoir, qui était fermées et à clés qui plus est. L'Azurée fronça les sourcils, alors qu'Enimia s'approchait sortant une clés et ouvrit les grilles. L'Azurée acquiesça de la tête, presque un "merci".

Le groupe passa les grilles, un à un. Les loups semblaient agités, les comparses pressés de rentrer. Ils se dirigèrent vers les écuries sans tarder.
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SAMAËL

Réveil agréable, départ rapide, chevauchée haletante, partenaire de route charmante, manoir en vue... L'argenté ne demandait guère plus.
Les yeux allant de l'une à l'autre, de la vagabonde sous la coupelle de Seamus, à Divine qui se montrait oripilante au possible, le toisant de regards défiants et provocateurs, amplis de noirceur à son égard.

Attend que je te chopes seule toi, Divine, et on termine... se disait-il en regardant sa croupe balancer sous ses yeux au rythme du galop soutenu qui les ramenaient enfin dans leur antre.

Un croisement, une cariole, le fantome et le nonchalant, il les pensait déjà arrivé, si il avait bien compris, ils étaient partis avant sa libération, sans doute quelques arrêts pour batifoler à l'arrière de la charette ou dans les bois, grand bien leur fasse après tout.
Lui n'était pas en reste, une ou deux donzelles sous la main, l'azurée entre ses bras se crispant de plus en plus à l'approche du manoir.
Elle était responsable de cette mission, et sans être un échec, ce n'était pas une réussite non plus.
Resserant son étreinte autour de sa taille, il se mit à lui murmurer à l'oreille tandis que l'énigme ouvrait le portail, leur permettant de rejoindre leurs pénates.

Ne vous stressez pas à l'avance... attendez de voir, et nous ne revenons pas les mains vides... restez calme, sinon c'est là qu'il vous sautera dessus.

Talonnant le cheval de Cellene, Samaël passe à proximité du chenil, deux silhouettes, celle du Maître à n'en pas douter, une autre plus frèle, une femme, et les loups complétement surexcités.
Un sourire sur le visage de l'ange déchu, Chaos aurait-il la même façon de les nourrir que le faisait Chramm ou Le Patron, ça serait pour le moins intéressant...
Menant la cheftaine sur le pas de porte, il l'aide à descendre et en fait de même lui laissant le soin de reconduire son cheval jusqu'aux écuries, il doit soigner sa jambe, même si la douleur n'est plus aussi intense, il lui faut nettoyer mieux.

Enfin de retour...
lance t-il en levant les yeux vers la batisse.
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SEAMUS

Nuit agitée de pensées plus obscures les unes que les autres, adoucie par la présence muette d’Ivy. Réveil difficile, dos douloureux courbaturé de partout. Poids presque insupportable sur les épaules et sur l’âme.

Seamus finit de se préparer sommairement. Il rejoignit la voleuse sur son cheval. Bien que son contact fut toujours aussi agréable, sa présence l’indisposait particulièrement. La poitrine opprimée par l’angoisse, il avait besoin d’air, d’amplitude, de liberté de mouvement. Peu d’alternative se présentait à eux cependant. Il était convaincu, peut-être à tort, d’être le seul à pouvoir emmener la jeune Alienor sans trop de dégâts jusqu’auprès du Maître. Finalement lui seul déciderait du sort à lui réserver. Seamus ne savait plus quel statut lui attribuer. Alliée, adjuvante, prisonnière, opposante, impétrante. Ce n’était pas à lui d’en décider, sauf qu’elle encombrait pour le moment son champ d’action.

Le groupe se mit mollement en route, chacun en proie à ses appréhensions personnelles. Seuls les deux personnages les plus hauts en couleur semblaient inatteignables. Samaël, sûr de lui, inamovible dans ses actes et propos et bien sur le Gamin qui lui souriant perpétuellement à la vie, débordant d’énergie et de vitalité. Seamus ne put s’empêcher une grimace en le regardant, espérant que son visage adolescent ne soit pas trop vite marqué par les affres de la vie au Manoir. Bien qu’il fondât beaucoup d’espoirs pour le jeune Gus, Seamus savait pertinemment bien qu’il restait un oiseau pour le chat, de la viande pour loups. Ses pensées le menèrent inévitablement auprès du Maître psychopathe avec lequel il faudrait désormais composer. Plus ils approchaient du Manoir et plus le malaise de Seamus s’accentuait, fermant son esprit de plus en plus sur lui même, de plus en plus au plus profond de l’inéluctable.

Un cri perçant retentit à son oreille tandis qu’ils approchaient d’un chariot bâche semblable à celui qu’ils avaient utilisé lors de leur départ vers Clermont. Avec une certaine indifférence, qui n’aurait pas manqué de le surprendre lui aussi en temps ordinaire, il reconnut Aziel et sa maîtresse, intacts tous les deux et tout aussi inchangés que les deux autres. Une petite douleur à l’oreille, un pincement, le sorti de sa rêverie.

Le Faucon, semblait vouloir l’extirper de son marasme, lui insuffler un nouveau souffle vital.
Les réflexions du Taciturne subirent alors un revirement inattendu et probablement salvateur.
Pourquoi l’histoire devrait-elle se répéter sans cesse, pourquoi il n’avait pu imaginer qu’une fin cataclysmique à son aimée, pourquoi la mission ne pouvait-elle pas être considérée comme un succès, pourquoi fallait-il inévitablement noircir le sombre tableau de l’existence…

Un regain d’énergie, un sursaut vital envahit Seamus. L’espoir exsudait de tous ses pores. Dans très peu de temps il la verrait, l’enlacerait, la chérirait, l’aimerait.

Il se redressa sur son fier étalon, le port altier. Confiant comme jamais, il franchit les grilles du Manoir, affichant un regard étonnement rayonnant. Sa monture fit résonner ses sabots sur la cour d’honneur du Manoir, et sans provocation ni triomphalisme inutile, Seamus lui fit effectuer un large tour circulaire de l’endroit avant de se poster en son centre, face au Maître qui n’avait pas bronché à leur arrivée. Une étrange personne accompagnait celui-ci, une nouvelle recrue probablement, à moins que le dirigeant fou aie décidé d’agrémenter les repas de la meute de mets encore en vie, la chair inondée de terreur.
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IVY

C’était bien le fantôme et le don juan sur la carriole. De bref salutations et toutes la petite bande fit les quelques lieux qui les séparaient à peine de leur demeure. Ne restait plus qu’un obstacle, la grille. Heureusement la jolie spectre avait la clé du bonheur. Cette dernière ouvrit la porte et ils n’hésitèrent pas à se ruer à l’intérieur de la cour. Bienvenue chez soi. Tout le monde semblait ravi plus ou moins. Seul l’air inexpressif dans les yeux de Seamus restait. Pourtant elle le connaissait bien, il était content mais rongé pour la belle rouquine.

Elle débarqua de sa selle, passa aux cotés du taciturne. Sa main se posa sur son épaule en signe de compensation et de compassion.

Je rapporter ton destrier aux écuries si tu veux, t’as autre chose à t’occuper…

Elle désigne d’un geste du menton la voleuse qui descend à son tour de selle. Elle attend sa réponse. Les loups font un de ces vacarmes pas possible. Ils hurlent souvent, elle s’endort même à ce son plusieurs fois ici mais c’est bizarre en ce moment. Elle se tourne en direction du chenil. C’est alors qu’elle voit une très jolie jeune femme se faire pousser par un malade dans la ‘’ cage ‘’. Ébahie, le poison regarde le spectacle. Elle ne va pas faire de vieux os celle là. Elle se retourne vers Seamus une fois de plus

C’est qui ce malade ? Une nouvelle recrue ? Merde les prend où le nouveau Patron ?

Elle est indignée, quelle mort horrible, dévorée par les loups. Bref ce n’était pas son tour mais quel connard, pas intérêt à le laisser s’approcher trop près celui là. Elle l’aura à l’œil tiens.
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VERSUS

Versus suivait la troupe, ou du moins la Belle Lupia de très près. Il ne la lâchait pas, ou elle ne pouvait plus se passer de lui. Là était la grande question. Mais il ne se la posait pas. Il ne voulait pas se prendre la tête avec les femmes. La seule et unique femme pour qui, il pourrait se prendre la tête, c'était bien sa Perle. D'ailleurs, pendant tout le voyage, il n'avait cessé de penser à elle. Qu'était-elle devenue maintenant? Elle lui avait dit qu'elle allait au sud. Mais où exactement? Il n'avait plus eu de nouvelles d'elle. Ou peut être qu'elle avait tenter de prendre contact avec lui... vu les chemins qu'il avait prit, il aurait été difficile de le retrouver.

Ses yeux flamboyants se posèrent sur les gardes de la ville: Carcassonne. Encore jamais venu par ici. Il préférait sévir au Nord. Bizarrement, ils avaient pu passer les gardes sans aucun problème. Encore des trouillards. Ce n'était pas plus mal. Un nuage de fumée au loin, Versus redressa la tête et put s'apercevoir que le couple niais était toujours en vie.

Sont pas mort ceux là... murmura-t-il à la Belle Lupia. Faut croire que non, il haussa vaguement les épaules, alors que tous s'engouffrèrent dans la forêt. Plus ils avançaient, plus le Ténèbre put apercevoir une grande baraque, planquée entre les arbres, entendre des loups hurler. Tous s'arrêtèrent devant une immense grille, qui fut ouverte par la "souriante constante". Ils entrèrent à la suite de la Belle Azurée, Versus l'avait toujours de travers, mais il fit profil bas pour l'heure. Un jour, il se vengerait d'elle, quoi que puisse en dire la Belle Lu.

Une fois entrer dans la demeure, tous descendirent de cheval, la cheftaine fut appelée par un homme encapuchonné. Le même homme leur souhaitait une "bienvenue" arrachée du plus profond de sa gorge. Il dicta aussi de rejoindre leurs quartiers. Simpas le mec... Le Ténèbre en a pas de quartier... peut être qu'il squatterait la chambre de la Belle Lu... Un mot sortit de la bouche de l'Azurée, tiqua... "Maître"? Bah voyons... dans quel genre de groupe, le Ténèbre s'est encore fourrer...
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ALIENOR

D'accoutumée, la vagabonde était plutôt du genre jacteuse, mais là avec Seamus s'était pas gagné, pas qu'il fasse la baboune apparement, mais pas loin, comme ci sa présence le génait, qui sait peut-être ben après tout.
L'autre pervers et sa boss de bécosse la reluquait régulièrement et bien malgré elle, sans vraiment s'en rendre compte, elle avait tendance à se resserrer du taciturne qui n'appréciait que moyennement depuis le départ de Béziers.

Plus ils se rapprochaient de leur destination, plus son compagnon de route se détendait alors qu'elle se crispait à l'extrême, pas que le faucon lui ai fichu les foies, mais cette demeure, elle leur "maître" dont ils ne cessaient de parler, il allait dire quoi d'une étrangère chez lui.
Alienor avait son voyage à force, elle ne pouvait plus de cette tension, et même si elle était adonnée avec Seamus comme surveillance, il serait pas toujours là.

Une maison, immense, majestueuse, sombre, glauque au possible se laisse voir à travers les branchages serrés, et tous retrouvent le sourire, tous sauf elle, elle le sent pas sur ce coup mais pas du tout, elle avait beau pas être achalée, elle en menait pas large.
Tout le groupe s'introduisit dans la cour du manoir, Ali suivant sa monture et le cavalier qui allait se figer droit devant un homme en bure, un frisson lui parcouru l'échine, depuis un de ses précédents séjours en geôle pour des accusations faussement fondées de sorcellerie, elle avait un gros soucis avec ce genre de tenue.
Elle n'y préta pas plus attention, sautant du cheval en faisant un signe de merci à Seamus, restant pas trop bien au milieu de tout ce monde, mais suivant le mouvement en chopant des sacs d'écus comme l'avait demandé la boss de becosse.

La voleuse fut ampli d'appréhension quand elle entendit tant la femme z'yeux bleus que l'argenté appeller l'homme en bure "Maître", les deux ensemble ça présageait rien de bon.

Nom de Diou dans quel foutoir suis encore moi, me v'la ben amanché.

Pis lui, le maître s'adressa à l'azur souhaitant un bienvenu pas très convaincant ou tout du moins étrange, Ali frissonnait, cette voix...

Nan pas possible... purement et simplement impossible...

Rassurée par ses déductions, elle passa à proximité du maître en entrant dans la demeure, la vagabonde ne put s'empecher de baisser la tête comme pour paraitre encore plus petite qu'à l'habitude, et que l'homme à la bure ne la voit pas.
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CELLENE

Sortant du hall, la colère et la rage au ventre, l'Azurée s'avança dans la cour d'honneur. Elle entendit toujours les loups hurler, mais n'y prêta pas d'attention. Une seule chose en tête: fermer ses satanées grilles, aller prendre un bain. Elle appréhendait déjà l'entre-vue avec le Maître, mais elle ne cessa de repenser au mot rassurant de l'Argenté.

D'ailleurs, elle n'avait pas comprit pourquoi il avait porté secours à la blondinette dans le hall. Et surtout si rapidement. Qu'il soit galant, elle pouvait bien l'admettre, mais de là à courir à son "chevet". Il y avait anguille sous roche, c'était pas possible autrement. Elle ôta ses pensées de sa tête. Pas la peine de se mettre plus en colère. Quoi qu'était-ce vraiment possible??

Arrivant vers les grilles, Cellene les ferma violemment. La partisante du moindre effort commençait sérieusement à lui pomper le système nerveux. Mis à part avoir donner "quelque" information, elle n'avait vraiment pas fait grand chose. Cellene sut alors qu'elle ne pouvait absolument pas compter sur elle... ni même sur son mec... Lui qui lui avait briser ce qui restait de son coeur... plus que des morceaux, inrecollable à présent.

Une fois les grilles fermées à cléfs, Cellene se tourna. Du deuxième étage, elle put voir un corps dégringoler et s'écraser près des ateliers. Un rictus de dégoût déchira le visage de l'Azurée, en entendant les os du mort se briser au sol. Elle secoua la tête.

Vraiment un malade machin!!!

Elle s'avança dans la cour, d'un pas toujours décidé. Il était maintenant temps de rejoindre ses quartiers. Elle entra alors dans le hall et sans même s'arrêter, grimpa les escaliers.
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L'ENIGMATIQUE ENIMIA

Eni entre, récupère ses affaires et repart...

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IVY

Seamus lui donna les rênes de sa monture, Ivy les pris et le regarda partir bizarrement vers la bâtisse. Il n’allait pas bien, elle pouvait le sentir. Que pouvait-elle y faire ? La peine qui le rongeait, n’était pas de son ressort. Elle pouvait le soutenir oui, mais jamais elle ne réussirait à le faire sortir de sa propre prison de solitude. Cela elle pouvait très bien le comprendre, en étant affectée elle-même de ce mutisme. Les autres partirent aussi en direction du manoir, la laissant presque toute seule dans la cour. Elle détourna le regard vers le chenil où la jeune femme y était toujours confinée avec les loups. Elle s’en sortirait peut-être, les hurlements s’étaient estompé pour le moment. Elle haussa les épaules et partie vers l’écurie d’un pas ferme.
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ANYANKA

Enfin, enfin Carcassonne, enfin la foret du manoir, enfin "le" manoir... La puce, juchée sur sa jument, suivait de près le reste du groupe entre Gus et Seamus, ce dernier semblait avoir changé radicalement d'attitude, retrouvant son coté taciturne à l'extrême, peut-être craignait-il lui aussi pour Xandy, même si sa façon d'être avec les autres allumeuses du groupe n'avait été que pardoxe pendant le voyage.
Tout le monde était entré ou presque, dans ses réflexions, elle ne vit pas son dingue de compagnon qui l'attrapa pour l'embrasser avec une fougue en totale opposition à leur état de fatigue, surprise, elle ne put que se laisser aller à cet échange spontané et qui la sorti agréablement de ses sombres pensées.

Reprenant enfin son souffle, Anyanka resta un moment ses yeux vert d'eau dans celui de Gus, réalisant juste à temps que Cellene refermait les grilles, combien de temps s'était écoulé elle l'ignorait et s'en moquait éperdument.
Talonnade dans les flancs de sa monture, la femme-enfant file jusqu'aux écuries proche du parc du couchant sans se retourner, apercevant du coin de l'oeil une jeune femme au chenil et les autres qui rentrent les sacs d'écus.

Bienvenue chez toi Anyanka
murmura t-elle pour elle même.
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KAERVEN

Kaerven aperçu enfin les grilles du manoir, il en fut presque soulagé. Le voyage avait été long, harassant et les divertissements bien fades, aucun combats rien qui aurait pus lui donner un peu d'adrénaline. Il passa es grilles tel un fantôme. Il ne s'était plus mêlé au groupe depuis son altercation avec le poison. Il descendit de sa monture et l'emmena aux écuries ou il la descella et la bouchonna avant de se diriger vers la porte du manoir. Perdu dans ses pensées, sans un mot il passa la porte du hall ne remarquant pas les personnes qu'il eut pu y croiser.



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